09h24 CEST
27/06/2022
Une adaptation complexe, à la fois personnelle et sportive. Le PSG ne joue pas avec Leo comme le Barça, l’Argentin n’est plus le patron, même s’il laisse ses coéquipiers bouche bée avec certains de ses gestes. Avant le PSG, le City de Guardiola. Messi a appelé Pep mais le coach a dit qu’il ne pouvait pas l’engager. Il a trouvé de nombreuses excuses, l’une d’entre elles étant qu’il avait déjà contacté Grealish, mais aucune de ces excuse n’a été suffisante pour Leo.
À Manchester City, tout le monde le voulait, mais Guardiola a dit que c’était impossible. Qu’il était le meilleur et qu’il n’y en avait pas d’autre comme lui, mais il y avait Grealish. Messi a ressenti le froid, la solitude, le temps qui passe est impitoyable; et Guardiola avait un avantage étant donné que Leo n’avait assisté à ses adieux en tant qu’entraîneur en 2012. Il était le seul absent, maintenant c’est Guardiola qui est le seul à ne pas valider sa signature.
Finis ces moments magiques à Barcelone où il gagnait des matchs grâce à ses individualités, montait des pièces mémorables et remportait des titres qui l’ont propulsé au sommet du football mondial. Guardiola est devenu immense, c’était son équipe et ce, jusqu’au moment où, au fil des années, cette Dream Team est devenue l’équipe de Leo. Ces temps sont révolus, leurs chemins auraient pu se croiser il y a un an, bien avant la signature de Grealish, mais Guardiola a dit non.